Pour une demeure en allée (le cœur des morts), remuer ciel et terre, se diviser comme l’oiseau, et comme l’oiseau ne rester qu’un homme.
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Dernier ajout : 24 mars.
Pour une demeure en allée (le cœur des morts), remuer ciel et terre, se diviser comme l’oiseau, et comme l’oiseau ne rester qu’un homme.
Relire Neiges, troisième mouvement d’Exil, de Saint-John Perse
Isabelle Lévesque, j’ai lu que le recueil Ossature du silence faisait référence à un château qui serait, pour vous, le lieu-source de votre écriture. Je dois dire que cela m’a bien plu. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre lien à ce château dans l’écriture ?
Lauréate du premier prix Bernard Vargaftig, le manuscrit d’Amandine Monin sera publié aux éditions Jacques Brémond en 2018.
Les grandes fascinations poétiques naissent toujours d’une formulation si juste qu’elle a le sceau de l’évidence. Par elle devient visible au sein du langage une vérité du monde.
à propos d’Un art des passages, publié aux éditions L’herbe qui tremble
« Quand le ciel descend sur terre », une lecture d’« Aromates chasseurs » de René Char, par Florence Saint-Roch.
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