Un ange à notre table
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détruire les sons
toujours ces eaux
noires
la fraicheur de l’écorce sous la paume
j’ai vu pleurer les pierres sur des sols desséchés
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mais vous vous avez accepté de traverser le désert
vous avez regardé en face les ombres
dévisagé, déformée la silhouette, le passé court après, court derrière
et devant si bien qu’il vous a ébloui
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J’ai d’abord visité un ventre nocturne
(il ne m’en souvient pas)
avant que de venir parmi les neiges
chasser
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Du corps et des yeux boire la fenêtre. Prendre goulûment de la langue l’eau grise du miroir. Coller son front à la pierre du carreau. Être fontaine à la pluie versant, caressée des bras puisant. Être attente au bassin de la vitre, bercée de l’eau des vivants. Être seuil, saisi du dehors, œil buvant le flux.
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Pour ne pas déranger l’intime, écouter les silences assourdissants.
- Que dis-tu dans ton poème ?
- J’exprime la souffrance.
- Le poids de ta douleur ?
- Non, la chair et l’espace des mots.
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Elles sont tombées dans nos bras
les unes après les autres
les unes
par dessus les autres
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Terre à ciel des poètes
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Je suis née en janvier 1957. C’était l’hiver la guerre l’Algérie. mon père était militaire. avec tous les déménagements qui s’imposent et rien de vraiment différent. quelque chose comme un vase clos. un monde séparé « du monde »
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Pierre Garnier, né le 9 janvier 1928 à Amiens et mort le 1er février 2014 à Saisseval, a commencé son œuvre de poète sous l’influence de l’École de Rochefort. Il fut, avec son épouse Ilse, l’un des inventeurs du spatialisme en poésie.
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Ilse Garnier, née Göttel, est née le 26 juin 1927 à Kaiserslautern, en Rhénanie-Palatinat (Allemagne). Après la guerre, elle rencontre le poète français Pierre Garnier (1928-2014) qu’elle épouse et avec qui elle vit à Saisseval. Ils créent ensemble le Spatialisme en poésie
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Né près d’un tumulus / Ecrivain et plasticien
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Christophe Stolowicki. Disant de la poésie sans le savoir, comme Monsieur Jourdain. Sachant décrire, oui, mais de son corps de phrase la courbe de ce qui lui manquera toujours.
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Pierre Alain Tâche est né en 1940, à Lausanne (Suisse), où il vit. Juriste de formation, il a été avocat, puis magistrat judiciaire (comme Jean Follain qu’il considère être l’un de ses maîtres et auquel il a consacré un essai).
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Voix du monde
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Des poèmes incroyablement simples mais envoûtants, Jejuri est l’un des grands livres de l’Inde moderne. Jejuri est un site de pèlerinage dans l’État du Maharashtra. Le poème Jejuri est le récit d’une visite de la ville – un lieu aussi grossièrement commercial que sacré, aussi moderne qu’ancien.
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Katie Farris, née en 1983, est une poète américaine, également autrice de livres de fiction, traductrice (du chinois, du russe et du français), éditrice et professeur de littérature à l’université. Son travail a remporté de nombreux prix de poésie et de fiction.
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Nikki Giovanni, poète, activiste, mère et professeur, née à Knoxville, dans le Tennessee, en 1943, a remporté sept fois le Prix de la NAACP pour son travail littéraire et a été la première récipiendaire du Prix Rosa Parks Woman of Courage.
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L’ici, l’aicí, pour Jaumes Privat, c’est le Rouergue où il est né (en 1953), et dont il a choisi le matériau linguistique pour réaliser ses créations, non seulement les productions poétiques mais aussi les œuvres plastiques. Et là-bas – Privat ne dirait pas « ailleurs » – c’est l’ici-encore, l’aicí-mai : l’Éthiopie et la Grèce, en particulier, dont les univers humains ont trouvé chez lui un écho sensible et souvent bouleversé.
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Cid CORMAN (Boston, 1924 - Kyoto, 2004), personnage-clé dans l’histoire de la poésie américaine de la seconde moitié du 20ème siècle, à la fois comme poète (prolifique), traducteur (inspiré) et éditeur (perspicace), est resté jusqu’à ce jour, faute de traduction, quasiment inconnu du public français.
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Constant Laval Williams est un poète né à Los Angeles, et ancien résident de Paris, où son écriture est devenue majeure.
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L’arbre à parole
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Je me suis toujours émerveillée de ce qu’au Moyen Âge, on ait eu l’idée de distinguer les langues selon la manière de dire oui, oïl et oc signifiant tous deux, selon que l’on se trouvait au nord ou au sud, une réponse positive, un accord, une approbation. Aujourd’hui, je m’interroge : si en poésie, tous autant que nous sommes, nous mettons en œuvre un usage particulier de la langue, dans la fabrique du poème, quels chemins de pensées et de mots inventons-nous, chacun dans son idiome, pour dire oui ? À quoi disons-nous oui, d’abord – et de quoi répondons-nous ? Accepter, adhérer, confirmer, s’accorder – autant de modes d’expression qui requièrent un certain degré de conviction, une présence lucide et engagée, une confiance en la vérité de l’affirmation.
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« Quand elle se noie/ la vie remonte/ du fond des eaux avec/ une poignée d’herbes// Rien n’est plus beau/ que cette herbe arrachée/ au courant qui l’emporte » (Jacques Robinet, Brèches, p.29, avec des œuvres de Renaud Allirand, Collection Grand ours, Editions L’Ail des ours, n°6, octobre 2020).
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Dans cette étude, Gabrielle Althen, grâce à une lecture patiente du célèbre poème extrait d’Alcools, fait entendre de nouvelles résonances, et ouvre ainsi des prolongements inédits autant que féconds.
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« Suis-je peut-être ou bien/ suis-je l’étoile l’arbre ou/ le chant d’oiseau de l’autre côté/ de la lumière envolé » (Jean-Pierre Farines, Passant(s), p.9, Collection Surya, Editions Alcyone, 2020).
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Ma découverte de Gérard Blua débute avec trois titres de poésie. Une poésie qui puise son énergie à la source de l’intime, qui interroge le monde et les mots, tentant parfois, dans des jeux homophoniques, de faire résonner des échos nouveaux qui ouvriraient d’autres horizons.
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Ces Cahiers d’essai, prenant appui sur Bout de souffle, mais pas seulement, explorent l’univers poétique d’Antoine Emaz. 12 traversées réalisées par E. Bouygues, F. Delorme, A. Dreyfus, A. Gellé, M. Monte, M. Thiria, J. Moulin, A. Pelletier, J. Sacré, Ch. Vogels, Ph. Longchamp et F. Saint-Roch
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Paysages
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Tu dis délivrer la lumière est un travail en poésie et en amitié, à quatre yeux et quatre mains. Pour éclairer ce projet commun, quelques préalables extraits d’une note d’intention que nous avons conçue, comme l’ensemble du recueil, selon un principe d’alternance : Là où « l’autre côté s’invite », nous voici prêts à tenter l’expérience alchimique : le je étroit où nous enferment les habitudes commence à se dissoudre, à ouvrir son regard vers une autre lumière.
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Les textes sont accompagnés d’œuvres réalisées au pastel sec et feutre. (Merci à Sophie Rousteau pour la prise de vue)
(...)
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En mars 2018, j’ai été invitée à visiter l’exposition « Vésanies ». Je suis tombée sous le charme (au sens forme du terme) des œuvres d’Ise
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Je construis mes tableaux du dedans vers le dehors pour qu’ils puissent être vus du dehors vers le dedans. Je procède donc de l’intérieur vers l’extérieur. Avant cela, j’accumule mentalement et parfois physiquement une multitude de petites choses inutiles mais qui me montrent une voie possible.
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Les poissons percés font le lien entre des lieux éloignés, des personnes disparues, des petits chevaux, des boules de noël du Japon... Impossible de vivre à plusieurs endroits en même temps sauf si vous avez un poisson percé avec vous. Ils parlent de gens, peut être morts ou pas encore nés et qui nagent encore...
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Rougier V. éd., collection Plis urgents n°57, 2020
Faire toute la lumière – voilà une nécessité (un courage, une faveur – une urgence aussi, oui, V. Rougier a raison) qu’on aimerait de tous les instants. Aussi ce recueil de poèmes de J. Persini, dont l’esprit est capté et visuellement transposé par le plasticien-poète M. Mahlem, s’attache-t-il à rassembler « Ce qui vient de lumière ».
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A l’écoute
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Présence au monde, adhésion, écarts féconds : pour une poésie de l’intervalle...
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Tristan Hordé est né en milieu rural dans la grande banlieue de Paris ; il vit depuis 1980 en Dordogne. Instituteur, puis universitaire, il a mené des recherches sur l’histoire de la grammaire et de l’enseignement pendant la Révolution. Lexicographe, il est auteur ou co-auteur de plusieurs dictionnaires (Larousse, Le Robert, Sud-Ouest).
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Tu as recueilli dans 7 Soleils & autres poèmes des textes qui semblent avoir pour point commun la langue bretonne et la culture celtique. Tu racontes dans d’autres livres (comme Le Rappel des jours) avoir parlé breton avec tes grands-parents. La langue bretonne, avec sa musique, son accentuation, sa rythmique et sa syntaxe si différentes, est-elle encore vivante en toi ?
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Voici cinquante ans, en ouverture de Liberté couleur d’aigle (P.J. Oswald, 1969), vous écriviez pour vous présenter : « Journaliste mon regard se porte aux apparences / poète je vise le cœur des choses / deux mouvements d’un même rapport au monde / et l’effort d’abolir une tour d’ivoire ». À ces activités de journaliste et de poète, vous en avez ajouté bien d’autres : peintre, photographe, producteur de radio, romancier, biographe, critique d’art, éditeur… et j’en oublie peut-être…
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Nous pourrions commencer par aujourd’hui, et interroger ce dernier « état des lieux » qu’est le livre qui vint de paraître. Un des chapitres est intitulé « Une ferveur lucide ». Peut-être est-ce pour cela, pour la fertile assurance que peuvent laisser venir ces mots, mais j’ai le sentiment que l’ensemble des poèmes rassemblé dans Clarté des pertes est moins mélancolique que vos derniers ouvrages. Est-ce vrai ?
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Chère Frédérique, je suis entrée dans votre œuvre par barque pierre. Livre écrit en résidence dans les Monts d’Arrée en Bretagne. Ensuite vous m’avez envoyé d’autres livres et je note l’importance des lieux, des rencontres aussi (avec paysages, dessins, bêtes...), j’ai comme l’impression qu’ils ancrent vos écrits, qu’ils sont lieux tout autant que mémoire.
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Bonnes feuilles
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- L’écart qui existe, Olivier Vossot, Editions Les Carnets du Dessert de Lune
- Père. Le roman de, Jacques Morin, Editions Henry
- L’autre jour, Milène Tournier, Éditions Lurlure
- Le confinement du monde, Pierre Vinclair, Éditions Lurlure
- Traverses, Angèle Paoli, Cahiers du Loup bleu, Les Lieux-Dits
- L’obstination du perce-neige, Françoise Ascal - encres de Jérôme Vinçon, Al Manar
- moi moi moi et les petits oiseaux, Alexandre Gouttard, la Crypte
- L’enfant poisson-chat, Christophe Esnault, Publie.net
- Et puis prendre l’air, Etienne Faure, Gallimard
- Une brûlante usure - Journal 2016 - 2017, Gérard Bocholier, Le Silence qui roule
- La portée de l’Ombre, Marie-Anne Bruch, Collection Pour un Ciel désert Rafael de Surtis
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- Jean-Baptiste Pedini, Vincent Motard-Avargues, Comme le fleuve au paysage. Éditions de l’Aigrette, 2020
- Hélène Dassavray, Quadrature de l’éphémère. Encres de Zaü. La Boucherie littéraire, 2020
- Marie-Josée Christien, Constante de l’arbre. Photographies de Yann Champeau. Les Éditions Sauvages, 2020
- Christine de Camy, a(s)ile. La Boucherie littéraire, 2020
- Jacques Morin, Père. Le roman du. Éditions Henry, 2020
- Anne-Marie Zucchelli, Espace d’un instant. Traduction en italien de Marilyne Bertoncini ; préface d’Isabelle Poncet-Rimaud. Éditions Pourquoi viens-tu si tard ?, 2020
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- Le nom de ce qui ne dort pas / Marie Huot, éd. Al Manar, 2020
- L’ordinaire et l’aubaine des mots / Alexandre Voisard, Editions Empreintes, 2020
- Seuils / Odile Fix, éditions Brin et E. Editeurs, 2020
- Crever l’écran / Thierry Raboud , éditions Empreintes, 2020
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Claudine Bohi : L’enfant de neige ; peintures de Anne Slacik- L’herbe qui tremble, 2020
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Entremêlés dans les chroniques générales de Christophe Stolowicki :
- Le ralentissement du tempo, de Jean-Pierre Gandebeuf
- Laissés pour contes, de Tristan Felix, Tarmac
- Aimer & faire l’amour, de Patrick Dubost, La Boucherie Littéraire
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- Jean-Marc FLAHAUT : Je n’aime pas les ateliers d’écriture (La Passe du vent éd., 2020)
- Salvatore SANFILIPPO : 54 activités amusantes pour un confinement réussi (Gros Textes éd., 2020)
- Jean-Michel MARCHETTI et Jean-Claude TARDIF : Je vous regarde (Éditinter éd. 2020)
- Salah AL HAMDANI : Ce qu’il reste de lumière suivi de Au large de Douleur (Les Éditions Sauvages éd., 2020)
- Christophe JUBIEN : Ce n’est que moi (Gros Textes éd., 2020)
- Marie GUERRINI : Le soleil se faufile dans nos nuits (Unicité éd., 2020)
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Bonnes maisons
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Entretien avec Claire Delbard par Cécile Guivarch
Bonjour Claire Delbard, j’ai découvert l’Atelier des Noyers il y a peu de temps… Intriguée par une note de Clara Regy dans le dernier numéro de Terre à ciel à propos d’un livre de Marcelline Roux et Alice Alice, Vous pouvez lui parler. Cela m’a donné envie d’aller voir de plus près en visitant le site internet de votre maison D’emblée, j’ai aimé les coquelicots comme accroche et puis une grande partie des titres m’ont parlé - ils ont un grand pouvoir (...)
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Entretien avec Michel Fiévet, par Isabelle Lévesque
Adolescent, je ne lisais pas mais j’aimais beaucoup écouter Ferrat chanter Aragon, Brel, Brassens, Ferré, Barbara…. puis avec les années « lycée », j’ai commencé à lire de la poésie grâce à mon professeur de français dont j’ai oublié malheureusement le nom : Baudelaire, Rimbaud, Aragon, Eluard, Desnos, tout y passait puis la curiosité m’a poussé vers des poètes plus contemporains : Andrée Chedid, Max Alhau, Pablo Neruda, Yves Bonnefoy…
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Entretien avec Emmanuel Caroux par Cécile Guivarch
Bonjour et tout d’abord merci beaucoup pour cette proposition d’entretien. La maison d’édition a effectivement été créée en 2015, suite à mon licenciement économique des éditions Sens & Tonka pour lesquelles je travaillais depuis dix ans. Cette année-là, j’avais le projet de créer, au sein de cette maison, une collection dédiée à la poésie contemporaine, projet que je mûrissais depuis longtemps. J’ai donc créé les éditions Lurlure dans la foulée de ce licenciement, un peu sur un coup de tête, parce que j’étais déjà engagé sur un premier titre, Cadavre grand m’a raconté, d’Ivar Ch’Vavar
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Entretien avec François Mocaër par Cécile Guivarch
Lors d’une lecture de poésie dans une galerie d’art, une auteure sur laquelle j’avais déjà écrit un article m’a avoué qu’elle ne trouvait pas d’éditeur pour son roman. Alors en plaisantant, je lui ai dit que j’allais créer une maison d’édition pour elle. Et c’est parti de cette manière. Elle m’a relancé au téléphone et je me suis dit : « Pourquoi pas. ». En fait cette auteure m’a permis d’accomplir de manière directe ce que j’avais pensé faire quelques années auparavant. Avec le recul, je dirais que j’y pensais mais que je n’osais pas.
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Virginie Gautier et Jean-Yves Fick, co-directeurs de la collection « L’esquif », et Guillaume Vissac, éditeur, répondent aux questions de F. Saint-Roch
Publie.net, ainsi l’édicte la devise de la maison, « Littératures et bifurcations », fait voeu, à travers ses nombreuses collections, de diversité, d’éclectisme et d’exploration. Courageusement, en proposant là aussi des ouvrages en support numérique et papier, vous y défendez une collection poésie, « L’esquif », dont le nom évoque la légèreté alerte, l’audace parfois périlleuse des pérégrinations engagées
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Entretien avec Guillaume Richez par Isabelle Lévesque
J’ai créé Les Imposteurs il y a trois ans. Vous n’y trouverez pas de recension de recueils de poésie en 2017, une année encore marquée par des lectures de polars
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Et d’autres feuilles
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Deux livres en un recueil : Des Notes pour un fantôme jusqu’à Hétéroclites, paru en 2020 aux éditions N & B
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- Lapidaires, Gabriel Zimmermann, éd TARABUSTE
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L’entrelacement continu entre parler et écrire nous éloigne du risque d’appauvrir la langue. De plus, la poésie de l’Auteur maintient le niveau qu’elle a atteint grâce à la tradition...
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- Chemins de l’arbre, Samuel Martin-Boche, Les éditions du Petit pois
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- Le nom de ce qui ne dort pas, Marie Huot, Editions : Al Manar (2020)
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- Falaise d’Aval , Michel Duflo, illustrations de Véronique Arnault (Pippa, 2020)
- Sous la ramée des mots , Georges Cathalo (Henry, « La main aux poètes, 2020)
- Rêves de Paysage , Claudine Bertrand, photographies de Joël Leick (Dumerchez, 2018)
- Éphémérides , Dominique Borée (L’Atelier du Groutel, 2020)
- Forêts incluses , Gilles Fortier (EO, 2020)
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WEB et Actualité
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Livres tout frais, reçus...
Ca qui me poursuit, Sylvie Durbec, Editions Les Carnets du Dessert de Lune
ultima prova d’orchestra, Michaël Glück, Editions Les Carnets du Dessert de Lune
Sur le bord (nouvelles), Eliane Vernay, L’Atelier du Grand Tétras
Détachant la pénombre, Marine Gross, Editions Tarmac
brise, Bernard Grasset, jacques andré éditeur
Lieu en trois temps suivi de L’Un contre l’autre : Gegenüber, France Burghelle Rey, éditions unicité
L’ombre pour berceau, Béatrice Marchal, aquarelles Caroline François-Rubino, Al Manr
marseille festin, Delphine Bretesché, Lanskine
Arrière-plans, Christophe Mahy, L’herbe qui tremble
Le Travail du monde, Jean-Louis Rambour, L’herbe qui tremble
Buissonnières, Claude Albarède, L’herbe qui tremble
Perpetuum mobile, Pierre Garnier, L’herbe qui tremble
Sous la ramée des mots, Georges Cathalo, éditions Henry
Comme le fleuve au paysage, Jean-Baptiste Pedini / Vincent Motard-Avargues, Editions de l’Aigrette
Etreintes mystérieuses, Philippe Mathy, L’Ail des ours
Où la chambre d’enfant, Luce Guilbaud, Tarabuste Editeur
moi moi moi et les petits Oiseaux, Alexandre Gouttard, La Crypte
Ne touchez pas au crépuscule, Stéphane Mroczkowski / Nicole Brossard, 2Rives - Les Lieux Dits Editions
Balayer l’atelier, Sylvie Villaume, dessins Haleh Zahedi, Les parallèles croisés, Les Lieux Dits Editions
Les gestes du jardin, Amandine Marembert / Valérie Linder, esperluète éditions
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Blogs et sites d’auteurs Les revues et blogs de poésie Paysages, Argiles & Plastiques Lieux et manifestations poétiques Le web des éditeurs
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Livres publiés, à paraître, publications en revues, prix, résidences, etc.
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Prix Louis Guillaume
Site du Prix Louis Guillaume
Prix de la Crypte
Prix européen francophone Virgile
Prix PoésYvelines
Prix du CoPo
Prix de la vocation
Prix des Trouvères
Prix des découvreurs
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