FSR : Je reprends, chère Françoise, à peu près où tu nous as laissé(e)s : dans la perspective de trouver chaussure à notre pied et chemins désirables, d’autant plus désirables qu’ils sont pluriels, mal dessinés parfois, et nous mettent en situation d’ « explorer l’incertain », ainsi l’énonce Marie-Claire Bancquart. Me plaît de lire, dans l’extrait du poème de René Char que tu as proposé : « Il est dans la nature troublée de l’amour d’être triste ». Voici qui m’interpelle, et nous place loin des perspectives (...)