Un ange à notre table
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Toujours à cet instant à ce silence aube sans visage
à cette douceur de l’immédiate présence quand les mots rêvent
l’herbe des nuits l’enlacement des corps dans les parfums
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Habiter au cap, où l’herbe est simplement battue par le vent, Se contenter de dire herbe, chez soi, dans la chaleur des foyers, Et traduire d’un mot ce que dehors nous entendons.
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Un pont Pour rejoindre Un point dans le ciel
L’aube se dévoile Au-dessus de la ligne Blanche
Nos routes se séparent Au soleil levant
Je vois la vie en vert
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Nos yeux sont un sésame
Pas une pupille qui ne vrille le monde trop offert d’une nudité si dense que nos cils s’y accrochent, le ploient comme un rameau de mai.
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dès que j’entre dans ta chambre, j’ai une envie presque irrépressible de pleurer.
la lumière jaune de l’ampoule pendant d’un fil accroché au plafond de ta chambre étouffe tout ce qu’elle éclaire.
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récemment le début
souffle dans notre cou le calcaire immobile le bord comme surface pelage du mur où souffle
le souffle se retient comme l’exhalaison
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Terre à ciel des poètes
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Née en Bretagne en 1957, Marie-Josée Christien vit à Quimper dans le Finistère. Poète, auteur jeunesse, critique littéraire, collagiste, elle est responsable de la revue annuelle Spered Gouez / l’esprit sauvage qu’elle a fondée en 1991. (...)
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Née dans le Vaucluse d’un père paysan lui communiquant le respect de la terre et d’une mère la sensibilisant à la poésie, Ile Eniger est l’épouse de l’artiste-peintre Emile BELLET. Professeur de français et de philosophie, elle quitte rapidement l’enseignement pour se consacrer à sa passion, (...)
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De père belge et de mère française, Jacques Goorma est né le 2 août 1950 à Bruxelles où il passe les trois premières années de sa vie. En 1954, sa famille s’installe à Genève. (...)
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Christophe Mahy est né en 1970 à Charleville-Mézières, dans les Ardennes, aux confins de la France et de la Belgique. Les forêts profondes, les méandres de la Meuse et de la Semoy l’ont conduit, pour reprendre Joubert, « à se faire d’abord des lieux » avant de prétendre à l’écriture. Farouche autodidacte, gourmand des mots des autres pour mieux nourrir les siens, il est attaché à la liberté du verbe comme à celle des pas du marcheur. Grand adepte du voyage (...)
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Colette Nys-Mazure, née à Wavre en Belgique, philologue de formation et enseignante, a publié ensembles poétiques (Feux dans la nuit, Espace Nord), nouvelles (Tu n’es pas seul, Albin Michel), romans et essais (L’Enfant neuf, Seuil points ; (...)
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Fils d’ouvriers et de petits vignerons des contreforts du Larzac, je suis né le 24 janvier 1937, à Sète, ville qui avait déjà donné à la poésie Paul Valéry et Georges Brassens. (...)
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Voix du monde
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Mohammad Bamm est un auteur et un poète de 31 ans. Il écrit dans un « Ghazal persan postmoderne », selon ses propres termes. Le Ghazal est la forme traditionnelle de poésie romantique arabe. Il est le bénéficiaire de huit récompenses pour sa poésie entre 2009 et 2013, dont sept d’entre elles ont été accordées par le Ministère de la Culture iranien. Il est aussi parolier et a travaillé avec trois musiciens (...)
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Francesco Gattoni Transe littéraire désarticulée entrecoupée de fugues oniriques nostalgie ou désespoir, Pur Sang frappe sans préliminaires. Le temps est un luxe d’aristocrate sans histoire.
« entré dans sa clarté nouvelle le sang chemine simiesque vers de purs sommets et cœurs creux qu’on dépouille quand même forçat en chie dans la pierraille fosses de sous-traitance »
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Les poèmes du recueil Un sanctuaire à midi ont été écrits durant une résidence à la galerie booksDADA de Séoul, en lien avec les éditions Humangraphy (Corée du Sud). Le projet « Language expansion » invite des artistes, écrivains à questionner le langage et sa transversalité dans différents domaines artistiques. Les fragments d’Un sanctuaire à midi ont été diffusés sur des écrans, et mis en mouvement par le traitement de l’image vidéo. Une composition de musique électronique créée par Étienne Michelet entrait (...)
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Des poèmes incroyablement simples mais envoûtants, Jejuri est l’un des grands livres de l’Inde moderne. Jejuri est un site de pèlerinage dans l’État du Maharashtra. Le poème Jejuri est le récit d’une visite de la ville – un lieu aussi grossièrement commercial que sacré, aussi moderne qu’ancien.
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Katie Farris, née en 1983, est une poète américaine, également autrice de livres de fiction, traductrice (du chinois, du russe et du français), éditrice et professeur de littérature à l’université. Son travail a remporté de nombreux prix de poésie et de fiction.
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Nikki Giovanni, poète, activiste, mère et professeur, née à Knoxville, dans le Tennessee, en 1943, a remporté sept fois le Prix de la NAACP pour son travail littéraire et a été la première récipiendaire du Prix Rosa Parks Woman of Courage.
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L’arbre à parole
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Je me suis toujours émerveillée de ce qu’au Moyen Âge, on ait eu l’idée de distinguer les langues selon la manière de dire oui, oïl et oc signifiant tous deux, selon que l’on se trouvait au nord ou au sud, une réponse positive, un accord, une approbation. Aujourd’hui, je m’interroge : si en poésie, tous autant que nous sommes, nous mettons en œuvre un usage particulier de la langue, dans la fabrique du poème, quels chemins de pensées et de mots inventons-nous, chacun dans son idiome, pour dire oui ? À quoi disons-nous oui, d’abord – et de quoi répondons-nous ? Accepter, adhérer, confirmer, s’accorder – autant de modes d’expression qui requièrent un certain degré de conviction, une présence lucide et engagée, une confiance en la vérité de l’affirmation.
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« Quand elle se noie/ la vie remonte/ du fond des eaux avec/ une poignée d’herbes// Rien n’est plus beau/ que cette herbe arrachée/ au courant qui l’emporte » (Jacques Robinet, Brèches, p.29, avec des œuvres de Renaud Allirand, Collection Grand ours, Editions L’Ail des ours, n°6, octobre 2020).
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Dans cette étude, Gabrielle Althen, grâce à une lecture patiente du célèbre poème extrait d’Alcools, fait entendre de nouvelles résonances, et ouvre ainsi des prolongements inédits autant que féconds.
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« Suis-je peut-être ou bien/ suis-je l’étoile l’arbre ou/ le chant d’oiseau de l’autre côté/ de la lumière envolé » (Jean-Pierre Farines, Passant(s), p.9, Collection Surya, Editions Alcyone, 2020).
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Ma découverte de Gérard Blua débute avec trois titres de poésie. Une poésie qui puise son énergie à la source de l’intime, qui interroge le monde et les mots, tentant parfois, dans des jeux homophoniques, de faire résonner des échos nouveaux qui ouvriraient d’autres horizons.
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Ces Cahiers d’essai, prenant appui sur Bout de souffle, mais pas seulement, explorent l’univers poétique d’Antoine Emaz. 12 traversées réalisées par E. Bouygues, F. Delorme, A. Dreyfus, A. Gellé, M. Monte, M. Thiria, J. Moulin, A. Pelletier, J. Sacré, Ch. Vogels, Ph. Longchamp et F. Saint-Roch
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Paysages
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Frédéric Tison, Clocher noir et château rouge, encres sur papier grain nuage, 13,5 x 21 cm, novembre 2019.
« J’ai rêvé : un corps plus près du lac et des sables — une eau peu sage sur une peau qui vient de luire —, un baiser entre l’épaule et le cou. J’ai rêvé le château du large, j’ai rêvé : une terrasse sans âge, et la pluie qui invente le nouveau chant de l’arbre. J’ai rêvé : des oiseaux graves — des mondes en falaises — et des oiseaux légers — des clairières (...)
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Je suis ce que je vois, Alexandre Hollan, po&psy, collection a parte
Notes et réflexions sur la peinture et le dessin - 1975-2020
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Artistes co-auteurs des livres pauvres avec Hervé Martin (poète) : Véronique Arnault, Xavier Boggio, Sophie Brassart, Aaron Clarke, Frédéric Cubas-Glaser, Isabelle Dansin, Dominique Lardeux, Marianne Le Vexier, Thérèse Palou, Louis Tartarin, Laodina, Hamid Tibouchi
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J’ai étudié ce que tu m’écris sur les poèmes. Cela pose évidemment le grave problème de la séparation en deux de la langue : la langue visuelle foncièrement différente de la langue parlée et audible, dans le temps et dans l’espace – en fait tout notre mouvement consiste à mettre la langue en activité, dans toutes ses dimensions, granuleuses, explosives, dynamiques, statiques. (...)
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Notes et poèmes de Florence Saint-Roch, en regard d’un choix d’encres de Roselyne Sibille.
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Un aperçu de différents livres d’artiste - en complément lire l’entretien avec Isabelle Lévesque
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A l’écoute
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Dans le prolongement du la page poète qui lui a été consacrée lors du numéro de printemps, Jacqueline Persini s’exprime ici sur ce qui la tient en poésie, et évoque une de ses aventures les plus douloureuses en poésie...
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Chapitre huit.
FSR : Je rebondis, Françoise, sur tes derniers propos. Dans la première partie d’Aromates chasseurs, plus précisément dans le poème intitulé « Lombes », René Char écrit ceci :
« Ô la nouveauté du souffle de celui qui voit une étincelle solitaire pénétrer dans la rainure du jour ! Il faut réapprendre à frapper le silex à l’aube, s’opposer au flot des mots. //Seuls les mots, les mots aimants, matériels, vengeurs, redevenus silex, leur vibration clouée aux volets des maisons ». (...)
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Le titre de ton recueil, Arrière-plans, est celui de sa seconde partie, la première étant titrée Conjuguer l’absence. S’agit-il de deux parties réunies pour ce volume ou as-tu conçu l’ensemble comme un diptyque ?
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Le titre de votre recueil, Buissonnières, appelle un substantif : s’agit-il d’écoles (peut-être référence à votre profession) ; mais quelles écoles faut-il éviter ? Les poèmes évoquent-ils ce que la nature et vos longues marches ont pu vous apprendre ? Ou s’agit-il de notes ou de poésies écrites dans la plus grande liberté ? (...)
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Les éditions L’herbe qui tremble publient ce printemps ton nouveau livre, Grünewald, le temps déchiré, ouvrage en huit parties précédées d’un poème liminaire. Dans les pages de carnets récemment publiées par Al Manar, L’obstination du perce-neige, tu parles à plusieurs reprises de ton « chantier Grünewald ». Tu parlais déjà du Retable (...)
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Le titre de ton livre me paraît différent des précédents, qui tissent des liens avec l’espace, le temps et la nature, en particulier : D’ici le soir, La Reverdie, Or et le jour, Terre !, Un peu de ciel ou de matin, Nous le temps l’oubli, Source et l’orge, Ni loin ni plus jamais, Le Fil de givre, Chemin des centaurées... Même ces deux autres, Va-tout et Voltige !, lancent sur la page un élan très (...)
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Bonnes feuilles
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- Arun Kolatkar, Jejuri, traduit de l’anglais (Inde) par Roselyne Sibille ; préface d’Annie Montaut - édition bilingue - Editions Banyan
- Isabelle Alentour, Makapansgat, peinture de Cécile A. Holdban - Editions la tête à l’envers
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- Marie-Josée CHRISTIEN : Eclats d’obscur et de lumière, Les Editions Sauvages éd., 2021
- Françoise ARMENGAUD : Du rouge à peine aux âmes, Librairie-Galerie Racine éd., 2021
- Jean-Pierre GEORGES : Pauvre H., Tarabuste éd., 2021
- Gorguine VALOUGEORGIS : matin midi soir, Polder éd., 2021
- Luce GUILBAUD : Mourir enfin d’amour suivi de Amour dormant, Al Manar éd., 2021
- Thierry RADIERE : Entre midi et minuit , La Table Ronde éd., 2021
- Abdellatif LAABI : Presque riens, Le Castor Astral éd., 2020
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- Van Gogh, Buraglio, Mon père et les autres, Armand Dupuy, L’Atelier contemporain
- En découdre, Isabelle Lévesque, L’herbe qui tremble
- Le vent pourpre, Philippe Mathy, L’herbe qui tremble
- lueurs, Cid Corman, Po&Psy érès
- Refaire le monde, Claude Minière, Gallimard
- Une épiphanie , Alexis Bardini, Gallimard
- Ô Saisons, Denise Le Dantec, Editions des instants
- L’année du pied-de-biche, Florentine Rey, Le Castor Astral
- L’eau du bain, Rim Battal, éditions Supernova
- -Nature sans titre-, Fanny Garin, angle mort éditions
- respire, Victor Malzac, La Crypte
- Mourir enfin d’amour, suivi de Amour dormant, Luce Guilbaud, Poésie Al Manar
- Boulevard de l’Océan, François de Cornière, Le Castor Astral
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- Paola Pigani, La chaise de Van Gogh. La Boucherie littéraire, 2021
- Marie-Josée Christien, Sentinelle. Éditions Sauvages, 2021
- Vincent Motard-Avargues, Là où ici. Aux cailloux des chemins, 2021
- Samantha Barendson, Americans don’t walk : les Américains ne marchent pas. Le chat polaire, 2021
- Marilyse Leroux, Une île, presque. Interventions à Haute Voix, 2021
- Thierry Radière, Abécédaire poétique. Gros Textes, 2021
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- En découdre / Isabelle Lévesque, éd. L’herbe qui tremble
- matin midi soir / Gorgine Valougeorgis, Ed. Polder n° 189
- Vie de poète / Robert Walser, traduit par Marion Graf, éd Zoé-poche
- Carrés / Sylvie Durbec, éditions Faï Fioc
- in / carne /Emilien Chesnot, avec des oeuvres de Gilles du Bouchet, éditions Aencrages
- Dans ta voix, tous les visages disent je / Serge Ritman, éditions Tarabuste
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- Guillaume Decourt, A 80 km de Monterey, Éditions Aethalidès, Collection FREAKS, (2021)
- Germain ROEZ, DANS LA PAROI DE VERRE, Éditions Les Lieux-Dits collection les parallèles croisées, (2021)
- Promenade éditée par Label Rives Collection créée par Dominique Masse et Gaël Mevel (2021)
- Claudine Bohi, Un père, Éditions Les Lieux-Dits, Collection Cahier du Loup bleu, dessin de Sima Jahangirian
- Anthologie : Chant must go on, poèmes farandoles, Mots Nomades, éditions, (2021)
- Estelle FENZY, Eldorado Lampedusa, traductions Rahiba ALNASHI (arabe), Angèle PAOLI-Anna TAUZZI (italien), photographies Patrick ZACHMANN, éditions pourquoi viens-tu si tard ?
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Bonnes maisons
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Les éditions Les Lieux Dits sont nées en 1994. Les raisons en sont multiples et très simples. En premier lieu, étant peintre et poète, mon intérêt pour l’édition (sous de nombreuses formes) est constant, originaire pourrais-je dire. En 1994 j’avais constaté que beaucoup de mes amis poètes (et peintres), et des plus connus, avaient beaucoup de mal à être publiés.
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Les livres sont soignés, élégants, mais sans ostentation. De chouettes objets.
- Hervé Bougel, UNE INQUIETUDE (LE QUATUOR)
- Nicolas Rouzet VILLA MON REVE
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Un entretien avec Jean-Paul Morin, par Hervé Martin
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Entretien avec Dominique Tourte par Cécile Guivarch, Clara Regy et Florence Saint-Roch
Cher Dominique Tourte, nous sommes trois membres actives de Terre à ciel, à figurer dans ce fabuleux livre que vous avez orchestré, Le système poétique des éléments, et ceci parmi 118 poètes. Vous avez formé un intrigant laboratoire, vous lui avez même donné un nom Laboratoire Novalis. Vous avez en chef d’orchestre rassemblé autour de vous dix sous-directrices et sous-directeurs suivant ainsi un protocole très ordonné pour célébrer le monde scientifique en même temps que celui de la poésie, pour donner à lire par famille les éléments poético-chimiques, métaux et non métaux, alcalins et lanthanides, gaz et halogènes…
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Bien plus qu’un recueil collectant nombre d’hommages au poète disparu, la Polyphonie pour Antoine Emaz est une œuvre de fidélité et d’amitié : un numéro non seulement hors-série, mais aussi « exceptionnel », ainsi l’énonce l’avant-propos. N 47 a en effet cessé son activité depuis quelques années déjà, et pourtant, cette nécessité s’est imposée : former une nouvelle fois l’équipe placée sous la direction de Ch. Vogels, reprendre du service pour saluer celui qui fut longtemps membre de son comité de lecture et de rédaction.
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Entretien Terre à Ciel : Jean Le Boël répond aux questions de Cécile Guivarch à propos de la Maison de Poésie de Paris Fondation Émile Blémont
Il me semble que nous ne pourrions pas parler de la Maison de Poésie de Paris - Fondation Emile Blémont, sans parler de celui qui l’a fondée. Cher Jean : qui était donc Emile Blémont ? Quelle était sa personnalité ?
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Bonnes feuilles (2)
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- Reprendre pied, Raphaël Laiguillée, éditions Gallimard 2021.
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- Le grand discord, Didier Gambert, éditions Stellamaris
- Un père, Claudine Bohi, éd. Les Lieux-Dits
- Les compagnons du radeau, Chantal Dupuy-Dunier, éd. Henry
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- Ahmed Ben Mahmoud – Allumer l’humble bougie – Edition Accents poétiques
- La minute illuminante d’André Hardellet
- Denise Le Dantec – ô saisons – Editions des instants, 2021
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- Pauvre H. Jean-Pierre-Georges. Tarabuste éditions
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- Jacques Robinet, Brèches, ed L’Ail des ours
- Dominique Bergougnoux, Dans la tempe du jour, éditions Alcyone
- Jean Lavoué, Voix de Bretagne le chant des pauvres, édition L’enfance des arbres
- Marilyse Leroux, Nés arbres, éditions L’Ail des ours
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- Martine Morillon-Carreau, Et puis quoi d’à venir, illustrations de Marc Bergère et traduction en anglais de Patrick Williamson. Éditions Transignum, 2021.
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Terre à ciel a reçu
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Livres tout frais, reçus...
Je n’ai plus peur de rester là, Angela Lugrin, éditions Isabelle Sauvage
La bouille des mots, Bernard Bretonnière, Cactus Inébranlable éditions
L’ombre se moque des apparences, Bernard Barraud, Cactus Inébranlable éditions
La nuit est encore debout, c’est pour ça que je ne dors pas, Lisa Debauche, maelstrÖm reEvolution
feu l’amour !, Camielle Pier, maelstrÖm reEvolution
les labourables, Lou Raoul, Bruno Guattari Editeur
Montagnes, chemins d’écritures, anthologie conçue par Jean-Pierre Chambon, Voix d’Encre
Fontaine de Clair Vent, Bernard Grasset, Editions Au Salvart
avec/sans titre, Florence Saint-Roch, Dominique Quélen, contraintEs
Des voix enrobées de silence, Amedeo Anelli, traduction de l’italien par Irène Duboeuf, éditions du Cygne
La part silencieuse, Eric Chassefière, éditions Alcyone
Le souffle et la sève, Laurent Thinès, Editions Musimot
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WEB et Actualité |
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