Un ange à notre table
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les corbeaux les grands corbeaux de soif
ont emporté les mots d’été
je suis resté avec l’ombre
de plomb et de pierre
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quand elle s’attendait à ma venue ma
grand-mère Madeleine qui perdait la
vue irrémédiablement et habitait un
appartement au rez-de-chaussée
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La maison abrite de grands et de petits blessés. Certains blessés de n’avoir pas été assez aimés, d’autres de l’avoir été trop, ou pas comme ils l’auraient voulu. Quelques-uns meurtris rien qu’à la vue de la blessure des autres. Il y a des fractures qui clouent, d’autres avec lesquelles on peut marcher.
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Nous
De cette épopée
presque vide,
ballottée entre l’urgence
et l’éternité
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je me fais des scènes
d’intérieur
y’a des veines qui gonflent et des artères qui se bouchent
à chaque fois que je me prends
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elles sont plusieurs à s’en aller
une pour chaque lumière
tombée sur la toile cirée
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Terre à ciel des poètes
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Eric Chassefière a passé sa jeunesse à Nîmes, et vit à Paris. Directeur de Recherche au CNRS, il est astrophysicien, spécialisé dans l’étude des planètes,...
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Mathias Lair écrit des poèmes, des romans et récits, du théâtre. Il a publié une trentaine de titres à ce jour et collaboré à de nombreuses revues, il tient une chronique dans la revue Décharge, une autre dans la revue Rumeurs. Sous le nom de J.-C. Liaudet, il a publié une quinzaine d’ouvrages
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Mélanie Leblanc a grandi près des falaises de la côte d’albâtre, en Normandie, comme l’indique le titre de son premier livre, Des falaises, paru chez Cheyne éditeur. Le lien à la nature, le corps, les questions de l’espace et du temps...
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Né en 1949. Poète, écrivain, traducteur. Enseignant-chercheur et directeur de recherches au Japon (université Aoyama Gakuin Tokyo) puis à l’université de Franche-Comté.
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Né en 1978. Travaille dans une radio associative à Chartres, Eure et Loir.
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Yves-Jacques Bouin, poète/comédien/metteur en scène, né à Tours en 1951. Passionné par la lecture à voix haute : formateur, en milieu scolaire, universitaire, carcéral, hôpitaux etc. À Paris met en scène et en voix Michaux, Hardellet, Reverdy, Desnos, Fondane, Jozsef Attila... (...)
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Voix du monde
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Miguel Hernández (1910-1942) est un poète espagnol de la génération de 27. Il côtoie Pablo Neruda et Federico Garcia Lorca. Il est l’un des plus grands poètes et dramaturges espagnols du XXème siècle. Il mène combat, auprès des républicains durant la guerre civile puis meurt dans une prison franquiste. Jusqu’en 1975, mort de Franco, il est interdit de lire ou réciter un poème de Miguel Hernández. Mais en 1976, les habitants d’Orihuela où le poète est né, descendent dans la rue et couvrent les rues des (...)
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Buenos Aires de Paris - (Présentation Gérard Cartier)
Les poètes sont chez eux partout. À Paris plus qu’ailleurs, peut-être. Depuis la guerre, son éclat s’est quelque peu terni, mais on y rencontre encore nombre d’écrivains étrangers, qui ont choisi d’y vivre sans renoncer pour autant à leur langue maternelle – comme le fit au contraire le tchèque Petr Král, disparu l’an dernier. La revue québécoise Les écrits a ainsi pu consacrer un dossier aux poètes italiens de Paris. Ce tropisme est plus vrai encore, (...)
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Traduit de l’espagnol par l’auteur et par Florence Real © Editions Sémaphore 2019
2.- El mar : ausencia / 2. La mer : absence
I
El mar puede ser ausencia hasta un punto de dolor no concebido.
Por la calle el aire seco huele a nada. Me pregunto dónde el verdeazul, ese color que por indefinible ni tiene lugar en el diccionario. Echo de menos las algas, su putrefacción alejando a los incautos. Nado contra el asfalto y el polvo de esta ciudad con su cielo puro y pírrico, rival basto al acecho (...)
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Le poète Daniel D. Marin, né en Roumanie, « renaît » en Italie après avoir vécu entre Bucarest, Rome, Timisoara et Valence (Espagne). Il vit aujourd’hui à Sassari, en Sardaigne. Poète, voyageur et photographe amateur, il se définit comme un « introverti » qui vit la poésie plus qu’il ne l’écrit. Il débute en 2003 avec le recueil Oră de vârf (Heure de pointe) qui lui vaut le prix du premier recueil au Festival « Duiliu Zamfirescu » et la candidature au Prix national de poésie « Mihai Eminescu ». Puis il publie (...)
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Les convives de l’autre terre (extraits) (prix d’Etat grec de poésie en 2017)
ΑΝ ΚΑΠΟΤΕ ΒΡΕΘΕΙΣ
Αν κάποτε βρεθείς σε ξένη γη χειμώνα με ομίχλη διασχίζεις έρημα χωράφια και συναντάς μόνο σκιάχτρα που ριγούνε στο σκοτάδι και δεν υπάρχει δρόμος ούτε κορμί ούτε ένα γερό κονιάκ παρηγοριάς να τονώσει τα κόκαλα που τρίζουν θυμήσου πως σε θυμάμαι πως πλέκω τις ίνες μεταξύ τους υφαίνω το κόκκινο χαλί στην ζεστή κουζίνα με την χύτρα να κοχλάζει το ξύλινο τραπέζι την σούπα, το τυρί και το ψωμί και κάθισε ξανά απέναντι αφού το μόνο σπίτι που μοιράζονται δυο (...)
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Le poète Yòrgos Thèmelis est né en 1900 dans l’île de Samos. Professeur de philologie à Thessalonique, il donne aussi des cours à l’École d’art dramatique. Il publie des poèmes en revues et collabore à différents périodiques littéraires. C’est seulement en 1945 qu’il fait paraître son premier recueil, Fenêtre nue. Auteur par la suite de nombreux autres recueils poétiques, il a aussi publié des œuvres théâtrales, des essais et des traductions. En 1962, il a reçu le Prix national de poésie. Poète, essayiste, (...)
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L’arbre à parole
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Cécile Guivarch : Chère Danièle Faugeras, dans Opus incertum, vous rassemblez l’intégralité de vos textes poétiques, édités ou non édités de 1975 à 2020. A lire cette anthologie, j’ai senti l’importance pour vous de les avoir assemblés, tant votre œuvre forme une cohérence, un cheminement, une maturation de la pensée poétique. Votre poésie est forte de présence et de lumière. Vous pourriez nous relater comment votre écriture est née, comment elle semble suivre une quête et ce qui l’a déclenchée ?
Tout d’abord, (...)
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Dans ce « Retour aux sources », Elise Tourte s’intéresse à la figure du chien dans la poésie contemporaine. L’animal présente étrangeté et familiarité. Avec lui, parce qu’il allie flair, vigilance et fidélité, immanquablement, au cœur des poèmes, se tisse une vibrante relation.
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« On soupçonne volontiers le poète de vivre dans ses rêves. Mais la figure du poète s’est presque effacée du monde contemporain, et il faut reconnaître que nous vivons dans une sorte de rêve, à la fois individuel et collectif. » (Jean-Pierre Lemaire, Marcher dans la neige, Un parcours en poésie, Chapitre II : La réalité des, poètes, p.15, Lessius, 2018) On ne peut sans doute que déplorer cette occultation, symptomatique d’une société qui n’accorde son intérêt d’ailleurs vite épuisé qu’à ses incarnations (...)
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« Je voudrais avancer aussi nu que possible. »
Hormis celui d’Après (L’Herbe qui tremble, 2019), on ne te connaît guère de titres aussi concis que celui-ci, qui tient en trois lettres : Ici. De fait, tu accordes à cet adverbe une place prépondérante dans la première section « Sorties de nuits » : « Tu n’en sortiras pas, […] / ta place est ici ». Dans quelle mesure « ici » est-il la seule « sortie » possible, lorsqu’on a traversé la nuit ?
En général, mes titres fonctionnent à partir de deux mots, ils (...)
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- Le verger poétique de P. Jaccottet (hommage)
- Yves Leclair – Pierre-Albert Jourdain : écrire comme on tire à l’arc – L’Etoile des Limites, 2018, collection l’Atelier céleste, 2018
- Rayonner : la poésie d’Odette Désagulier Berliocchi
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- Revue Sarrazine n° 19. Thème (n’) importe quoi. 2019. / et n° 20. Thème Juste. 2020. Éditions A.I.C.L.A Lanskine.
- Un petit peu d’herbes et des bruits d’amour. Cécile Guivarch. L’Arbre à paroles. Amay. Belgique. 2013.
- Cent ans au printemps . Cécile Guivarch. Les Lieux-Dits (coll. Cahiers du Loup Bleu) / Strasbourg. 2021.
- C’est tout pour aujourd’hui . Cécile Guivarch. Éditions la tête à l’envers. 2020
- Victor Hugo bien sûr. Lionel Bourg. Le Réalgar. 2021. St- Etienne.
- Tu dis délivrer la lumière. Sabine Dewulf et Florence Saint-Roch. Éditions Pourquoi viens-tu si tard ?
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Paysages
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Les textes sont accompagnés d’œuvres réalisées au pastel sec et feutre. (Merci à Sophie Rousteau pour la prise de vue)
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En mars 2018, j’ai été invitée à visiter l’exposition « Vésanies ». Je suis tombée sous le charme (au sens forme du terme) des œuvres d’Ise
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Je construis mes tableaux du dedans vers le dehors pour qu’ils puissent être vus du dehors vers le dedans. Je procède donc de l’intérieur vers l’extérieur. Avant cela, j’accumule mentalement et parfois physiquement une multitude de petites choses inutiles mais qui me montrent une voie possible.
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Les poissons percés font le lien entre des lieux éloignés, des personnes disparues, des petits chevaux, des boules de noël du Japon... Impossible de vivre à plusieurs endroits en même temps sauf si vous avez un poisson percé avec vous. Ils parlent de gens, peut être morts ou pas encore nés et qui nagent encore...
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Rougier V. éd., collection Plis urgents n°57, 2020
Faire toute la lumière – voilà une nécessité (un courage, une faveur – une urgence aussi, oui, V. Rougier a raison) qu’on aimerait de tous les instants. Aussi ce recueil de poèmes de J. Persini, dont l’esprit est capté et visuellement transposé par le plasticien-poète M. Mahlem, s’attache-t-il à rassembler « Ce qui vient de lumière ».
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Collaboration entre le peintre et graveur, Alain Bouvier, et la poète Françoise Delorme autour de lavis, consonances graphiques, couverture, gravure, livres d’art - suivi d’un entretien entre Françoise Delorme et Alain Bouvier
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A l’écoute
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Mon premier livre est paru, en 1975, aux Éditions du Noroît, fondées quatre ans plus tôt, où on avait choisi de lier, à chaque parution, poésie et art visuel. J’aimais cette idée puisque mon premier vrai choc culturel s’est produit en 1960 – j’avais 15 ans – au Musée des beaux-arts de Montréal devant les autoportraits de Van Gogh.
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C’est à Florence Trocmé que je dois d’avoir découvert il y a quelques années la poésie de Laurent Albarracin. À l’époque (2015), il faisait paraître Le Grand Chosier (aux éditions le corridor bleu) et les larges extraits qu’en donnait à lire le Flottoir, presque exclusivement consacré à ce livre, m’ont immédiatement ravi (rapt et ravissement, fascination et jubilation).
LE BLOC (...)
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FSR : Je reprends, chère Françoise, à peu près où tu nous as laissé(e)s : dans la perspective de trouver chaussure à notre pied et chemins désirables, d’autant plus désirables qu’ils sont pluriels, mal dessinés parfois, et nous mettent en situation d’ « explorer l’incertain », ainsi l’énonce Marie-Claire Bancquart. Me plaît de lire, dans l’extrait du poème de René Char que tu as proposé : « Il est dans la nature troublée de l’amour d’être triste ». Voici qui m’interpelle, et nous place loin des perspectives (...)
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Angèle Paoli, Lauzes, accompagnement plastique : Guy Paul Chauder. Al Manar, 2021 – 120 pages, 20 €
Isabelle Lévesque : Le titre de ton livre, Lauzes, me fait penser au titre d’un recueil de Pierre Reverdy : Les ardoises du toit. Ce poète est bien présent sur Terres de Femmes, et tu donnes même à lire plusieurs de ses poèmes dont le premier de son recueil de 1918 qui commence ainsi : « Sur chaque ardoise / qui glissait du toit / on / avait écrit / un poème ». Peut-on opposer une civilisation ou (...)
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Sabine Dewulf, Florence Saint-Roch, Tu dis délivrer la lumière Éditions Pourquoi viens-tu si tard, 2021 – 100 pages, 12 €
Isabelle Lévesque : L’écriture est le plus souvent une activité solitaire. C’est d’une exigence intérieure personnelle à l’extrême, et même d’une zone de soi que le poète découvre en écrivant que naissent les poèmes qui lui apparaissent parfois comme donnés. Mais vous avez décidé d’écrire ici à deux. Pourquoi ce choix ? Comment votre rencontre est-elle née ? L’exigence poétique est-elle la (...)
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Entretien avec Marie-Hélène Prouteau
par Isabelle Lévesque
« La petite plage, c’est la clairière des métamorphoses », lisait-on dans un livre précédent qui se présentait un peu comme l’ « autobiographie d’un lieu » (La Petite plage - La Part commune, 2015). Cette biographie littéraire de Madeleine Bernard consacre d’autres lieux magiques
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Bonnes feuilles
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- Claudine Bohi, Un père. Les Lieux-Dits (Cahiers du Loup bleu), 2021
- Estelle Fenzy, Amoureuse ? La Boucherie littéraire, 2021
- Fabienne Swiatly, Mère éléphante. Éditions des Lisières, 2021
- Estelle Dumortier, Entre les lignes. Photographies de Bernard Ciancia. La Rumeur libre, 2021
- Gili Haimovich, Soleil hésitant. Traduction de Marilyne Bertoncini. Jacques André éditeur, 2021
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- Autoportrait au roitelet / Emily Dickinson, éditions les belles lettres
- üert fomantà / Flurina Badel, éditions Les Troglodytes
- Ne touchez pas au crépuscule / Nicole Brossard en dialogue avec le plasticien Stéphane Mroczkowski, 2rives, Les lieux dits éditions
- Je t’aime comme / Milène Tournier, éditions Lurlure
- C’est à peine s’il pleut / Eric Sautou, éditions Faï fioc
- Son enfance / Eric Sautou, éditions Faï fioc
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- Florence Saint-Roch : Rouge peau rouge (Le Castor astral)
- Jeanne Bastide : Un déjeuner de soleil (L’Amourier)
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- Max Alhau : Les mots en blanc (L’Herbe qui tremble éd., 2020)
- Fabienne Swiatly : Jusqu’où la ville (Le Clos Jouve éd., 2021)
- Georges Drano : La Barrière de pluie (La rumeur libre éd., 2021)
- Jean-Pierre Lesieur : La dernière ballade du vieux poète (Gros Textes et Comme en poésie coéds., 2021)
- Jacques Ibanès : Dans ma maison vous viendrez (L’An Demain éd., 2021)
- Emmanuel Merle et Thierry Renard : La nuit passante (La rumeur libre éd., 2021)
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- Le Manège des oubliés. Jacques Josse. Quidam éditeur
- Nuit de foi et de Vertu. Louise Glück. Editions Gallimard
- Inscriptions. Charles Reznikoff. Éditions Nous. Collection Now
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- L’instinct du tournesol, Patricia Castex Menier, Éditions Les-Lieux-Dits, Collection Cahier du Loup bleu
- Un bruit de terre, Po&psy- Collection, Myriam Eck
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Bonnes maisons
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Entretien avec Guillaume Richez par Isabelle Lévesque
J’ai créé Les Imposteurs il y a trois ans. Vous n’y trouverez pas de recension de recueils de poésie en 2017, une année encore marquée par des lectures de polars
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Entretien avec Patrice Breno, par Cécile Guivarch
Traversées peut s’entendre de différentes façons, sur le plan géographique bien sûr, mais aussi et surtout sur le plan imaginaire : des traversées entre le monde de la création et celui de la lecture par exemple.
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Entretien avec Nicolas Gaislin, par Florence Saint-Roch
nous avons cherché et trouvé non sans plaisir que le rosier ne grimpe qu’à la condition qu’on l’y aide, qu’on haubane ses longues branches, sans quoi elles ploient, retombent. Le rôle de l’éditeur était défini selon nous.
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« Plasticien, typographe, éditeur, un touche à tout extraordinaire. [...] Un génial éditeur [...] »
(Pierre Soletti et Facteur Zèbre)
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Entretien avec Michel Gerbal par Cécile Guivarch pour le n°1 de la Revue du Bréchet - Chaos & fortunes
Il y a des gens qui vont mal et qu’on sent fondamentalement gentils, et d’autres non. Il faut du courage pour réussir à vivre dans cette douleur et réussir à ne pas trop en accuser les autres. Et puis j’avais lu quelques uns de ses textes, j’avais réussi à le convaincre de me laisser les lire, et même de les photocopier ! Je m’étais fait deux promesses : une, que ma vie ne serait pas semblable à la sienne, et deux, qu’un jour je publierai ses poèmes.
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Le Castor Astral est né fin 1974, créé par deux jeunes étudiant en Carrières du Livre à Bordeaux (Talence), suite à un voyage d’études au Québec (d’où le nom de la maison). Marc Torralba et moi-même partagions la même passion pour la poésie contemporaine.
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Bonnes feuilles (2)
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- Seyhmus Dagtekin – de la bête et de la nuit, éditions Le Castor Astral
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- Perspective flottante de Luce Guilbaud, Vincent Rougier Editeur
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- Felip Costaglioli, J’attends mes pertes, éditions de la crypte, juillet 2021, 125 pages, 10 euros
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ANIMAL(S) livre de plein air et de sous-bois, de Sylvie Durbec, Propos2 éditions, 1er trimestre 2021, 147 pages, 14 euros.
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- Au fil du labyrinthe suivi de Marines résiliences, Rafael de Surtis, 2019, 15 euros.
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- MADELEINE BERNARD, La songeuse de l’invisible, Marie-Hélène Prouteau, Hermann Editeurs, 2021, 158 pages, 19 Euros.
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Terre à ciel a reçu
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Livres tout frais, reçus...
Je n’ai plus peur de rester là, Angela Lugrin, éditions Isabelle Sauvage
La bouille des mots, Bernard Bretonnière, Cactus Inébranlable éditions
L’ombre se moque des apparences, Bernard Barraud, Cactus Inébranlable éditions
La nuit est encore debout, c’est pour ça que je ne dors pas, Lisa Debauche, maelstrÖm reEvolution
feu l’amour !, Camielle Pier, maelstrÖm reEvolution
les labourables, Lou Raoul, Bruno Guattari Editeur
Montagnes, chemins d’écritures, anthologie conçue par Jean-Pierre Chambon, Voix d’Encre
Fontaine de Clair Vent, Bernard Grasset, Editions Au Salvart
avec/sans titre, Florence Saint-Roch, Dominique Quélen, contraintEs
Des voix enrobées de silence, Amedeo Anelli, traduction de l’italien par Irène Duboeuf, éditions du Cygne
La part silencieuse, Eric Chassefière, éditions Alcyone
Le souffle et la sève, Laurent Thinès, Editions Musimot
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