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Quand j’ouvre Femme(s) passagère(s) de l’est par Serge Prioul

3 janvier 2017 11:26, par sylvie durbec

La plus belle manière de lire un poème : écrire un autre poème. Tresser les textes. Entendre la voix de l’une, la voix de l’autre. Merci à l’ami, au poète. Qui fait vivre le livre. l’empêche de tomber en silence. Et redonne vigueur aux mots des passagères en y mêlant les siens. Comme un mano a mano. Merci encore pour cette pertinence aussi.

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