« Seule devant ce corps/ compact, ferme/ si rude/ sans personne pour l’habiter/ sans demeure/ ouvert en plein vent (Christine Durif-Bruckert, Courbet, l’origine d’un monde, Collection Ekphrasis, Editions Invenit, 2021). Au commencement est donc le regard, et quel regard ! Celui d’une confrontation avec un corps imposant l’évidence de sa matérialité la plus organique. Ce sont avant tout des qualités objectives que saisit le texte, mais du point de vue de ce regard frappé d’une telle stupeur devant le (...)